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Bonjour, Chers Tous, 

L’année s’achève, et j’avoue que si elle restera gravée dans ma mémoire, je ne la regretterai pas.
Ce fut une « annus horribilis » comme dirait the Queen. 

Je ne suis pas rancunière, je lui dis adieu, mais sans sortir les mouchoirs.

Ceci dit, si d’un point de vue personnel, elle me laisse un goût amer, d’un point de vue éditorial, elle a quand même tenu ses promesses, et moi, les miennes…ou presque.

Au cours de cette année, les tomes 5 et 6 de La Société sont sortis en poche chez J’ai lu, le tome 9 a vu le jour aux éditions La Bourdonnaye, et enfin, « Au bonheur de ces dames » a été publié par les éditions Blanche – (Hugo &Cie).

Au final, et dans l’adversité, je n’accuse en tout et pour tout « qu’un » retard de quatre mois sur le planning que je m’étais fixé.

En guise de bonnes résolutions pour 2016, en voilà une qui s’impose : ne plus faire de planning.

Je plaisante, sans organisation, on va dans le mur.

Mais une chose est sûre, j’ai envie de continuer à prendre du plaisir à écrire, et non pas de me forcer à le faire en vertu d’un calendrier.

L’année qui s’annonce verra la fin d’une époque et le début d’une autre.

En effet, le dixième et dernier tome de ma série La Société sera bientôt entre vos mains. Je suis partagée entre la joie d’avoir mené ce projet jusqu’au bout en conservant la confiance de mon éditeur et celle de mes lectrices et de mes lecteurs qui m’ont accompagnée fidèlement jusque là, et la nostalgie de mettre un point final à une aventure qui m’aura passionnée pendant plus de cinq ans. 

Mais les meilleures choses ont une fin, et cela ne signifie en rien que je vais ranger mon clavier, mes cahiers, et éteindre mon ordinateur.

Non, vous allez devoir me supporter encore un peu, je le crains.

En tout cas, moi, j’espère vous retrouver en forme après les fêtes que vous souhaite les meilleures possibles.

Et je vous embrasse… très tendrement, comme toujours.

Angela

Bonjour chers tous,

Je suis ravie de vous retrouver après une période un peu agitée pour moi.

Tout rentre dans l’ordre et le bon. Et pour célébrer cela, j’ai décidé d’aller rendre visite à mes éditeurs, à Paris.

Ce qui ne devait être qu’une visite de courtoisie s’est transformé, pour mon plus grand plaisir, en une rencontre très amicale avec des lectrices et des chroniqueuses de la première heure.

Grâce à elles et leur enthousiasme à dévorer la série La Société, j’ai pu gagner en assurance et en lectorat.

J’ai donc profité de cette occasion merveilleuse pour partager ce moment chaleureux avec elles afin de les remercier à ma façon de tout ce qu’elles m’ont apporté.

J’ai pu également saluer Florence Lottin (Pygmalion) , Eloïse Offredi (J’ai Lu), et Silvana Bergonzi (J’ai lu), des jeunes femmes qui donnent envie de s’investir à leurs côtés. 

Cette journée mémorable s’est conclue par un dîner qui le fut tout autant. 

Cette adresse est celle du restaurant de Gérard Depardieu. Je peux vous dire qu’on y mange très bien, même si j’ai été considérablement distraite par la conversation qui se tenait à notre table. En effet, j’ai eu le plaisir, l’honneur et l’avantage de dîner en compagnie de mon cher mari certes, mais aussi, de Benoit de la Bourdonnaye (que je ne vous présente plus 🙂 ), de Jocelyn Rigault, directeur des éditions J’ai lu, d’Eric Porcher, le producteur, et d’Arnaud Kerneguez, le distributeur de l’adaptation audiovisuelle de « Qui de nous deux ? ». 

J’ai passé un moment hors du temps, véritablement passionnant, et très divertissant, au milieu de tous ces messieurs à l’humour explosif et à la répartie savoureuse.

Ce que j’ai pu glaner comme informations doit cependant demeurer encore un secret. Je vous en dirai davantage à la rentrée, après les vacances, quand les choses seront formalisées.

Après cette première journée agitée, déjeuner avec Franck Spengler, des éditions Blanche, fut un régal et pour les papilles et pour les oreilles.

Sans doute cet homme malicieux a-t-il pensé que j’allais m’ennuyer durant cet été, il m’a remis des devoirs de vacances :

Ce sont les quelques 450 pages de mon texte à corriger… même pas peur, au contraire, j’y prendrai grand plaisir.

A l’occasion de ce rendez-vous, j’ai également découvert la dernière mouture de la prochaine couverture de « Au bonheur de ces dames ». Une évolution graphique qui me plait beaucoup.

Après tout cela, j’ai pu profiter de quelques heures parisiennes un peu plus calmes malgré la chaleur.

Je suis rentrée avec de beaux cadeaux, de beaux souvenirs, et une belle motivation.

Un grand merci à tout le monde.

Je vous embrasse… tendrement, comme toujours.

Angela