Bonjour, Chers Tous,
Aujourd’hui, j’ai le grand plaisir de vous présenter mon prochain titre à paraître aux éditions Pygmalion :
LUCRECE CLUB
Avant de vous en dévoiler le résumé, il me semble nécessaire de préciser deux ou trois petites choses :
- Lucrèce Club, (comme les plus avertis d’entre vous l’auront remarqué au symbole figurant sur la couverture), est un spin off de La Société. À dire vrai, on peut même le considérer comme un tome 11 à part entière.
Par conséquent et comme pour tous les tomes de La Société :
-
S’il n’est pas, à strictement parler, nécessaire d’avoir lu le tome 10, je ne saurais que trop vous le conseiller. En effet, j’ai glissé dans mon histoire des références qui pourraient ne pas avoir la même saveur si vous n’étiez pas dans la confidence de ce qui se passe dans cet opus précédent de la série.
Et
- J’aurai le grand plaisir de le dédicacer, le samedi 16 mars, de 14 à 15 heures, sur le stand Flammarion au Salon du Livre de Paris 2019
Puisque vous voilà avertis, je ne vous prive pas plus longtemps de la lecture de son résumé.
RESUME
Prendre des risques et payer de sa personne, Adam Brunner sait très bien le faire. Parfois même au péril de sa vie.
Mais s’ennuyer à mourir durant sa convalescence, il n’en est pas question.
L’ennui est donc, à ses yeux, une excuse parfaitement valable pour solliciter de David Hertman, son patron et ami, qu’il le remette illico au travail.
Or, la proposition du magnat de la presse n’est pas précisément ce à quoi il s’attendait.
Qu’à cela ne tienne, David ne manque pas d’idée pour occuper son turbulent reporter. Surtout quand il s’agit de fouiller à nouveau dans les tiroirs secrets de La Société. Pour mener son enquête à son terme, Adam va devoir se mettre encore en danger, mais d’une tout autre façon.
J’espère qu’il saura vous séduire comme ses petits frères avant lui.
Je ne vous cache pas qu’il fait partie de mes chouchous parmi tous les livres que j’ai écrits jusqu’à présent. Je croise les doigts pour qu’il devienne l’un des vôtres.
Et je vous embrasse… tendrement comme toujours.
Angela